L'athéisme attaque le christianisme avec une dénonciation contre Jésus et l'église catholique laquelle a défendu une imposture basée sur de faux documents, tels que la Bible et les Evangiles, avec la violence de l'Inquisition et le plagiat obtenu avec satan, les exorcismes et autres superstitions.

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Evangile de Marc et Matthieu (pseudo)

Pour expliquer ce que signifie la parole « pseudo » mise entre parenthèses dans le texte, disons que l'Eglise, alors qu'elle fît le tri de documents en rapport avec la vie de Jésus, un tri qui depuis confirmations et réflexion a eu lieu pendant des siècles si nous considérons que l'Apocalypse resta en discussion jusqu'au VI° siècle, après avoir choisi comme canoniques les quatre qui leur convenaient le mieux, déclarant tous les autres non valides leur donnant le nom d' « apocryphes », étant représentés par un seul exemplaire, et de « pseudo » par contre il y eut deux exemplaires du même document, comme dans le cas des évangiles canoniques qui, étant tous représentés et quatre le sont d'une double copie, ils auront respectivement un pseudo.

Mais laissant de côté les pseudo qui se réfèrent à Luc et à Jean qui outre le fait qu'il est trop long d'en expliquer les origines ils ne sont pas non plus d'une importance déterminante pour notre but qui est celui d'établir la date des canons, en examinant seulement le pseudo Marc et le pseudo Matthieu.

Une autre récolte de sentences, outre celles déjà considérées dans les évangiles de Tommaso, Philippe, etc…, fut réunie dans deux livrets qui furent attribués à deux personnages complètement ignorés par l'histoire, Marc et Matthieu, que l'Eglise a déclaré qu'ils furent des disciples de Jésus.

Que ces deux évangiles soient sortis entre 135 et 150 nous vient du fait que ceux qui les rapportent démontrent qu'ils ont connaissance de la destruction de Jérusalem advenue en 135 et qu'ils sont nommés par Papia, évêque de Geropoli vers 150, lequel le définit ainsi :

«  Marc, interprète de Pierre, redonna exactement mais sans ordre ce dont il se rappelait des paroles du Seigneur ».

« Matthieu réuni en hébreux les sentences du Seigneur et chacun les traduisit comme il le pouvait ».

On ne peut savoir avec certitude lequel des deux pseudo évangile a été écrit en premier même la conviction générale dit que celui de Marc fût le premier.

«  Lequel des deux fût-il écrit avant l'autre ? Presque tous sont d'accord pour attribuer la priorité à celui de Marc pour le fait que tous les autres le citent et le recopient. En réalité, étant donné les arrangements ultérieurs, cette preuve ne peut être considérée comme décisive. Mais de toutes façons peu importe du moment que l'écart entre les deux est absolument minime  ». (Guy Fau. Op. cit. p. 89).

En fait ce qui nous intéresse dans ces deux livrets c'est de pouvoir en tirer les preuves démontrant que les évangiles canoniques qui leurs sont attribués n'ont pas été écrits dans les années 40 – 50 (Matthieu) et dans les années 60 – 65 (Marc) comme le soutient l'Eglise, mais seulement après 150, et pas par des témoins présents aux faits mais par des falsificateurs qui, comme nous le verrons dans le chapitre des évangiles canoniques, qui n'avaient rien à voir avec le monde hébraïque et encore moins avec la Palestine.

 

 

Grâce à un irréprochable service bancaire et postal, la première édition de «La fable de Christ» a été complètement vendue dans le respect de la plus parfaite exécution des envois.

© Luigi Cascioli